Les Maîtres sont unanimes à dire qu’il ne faut pas que le Maître spirituel rattache le murîd à une Voie de progression effective (sulûk) alors que le murîd en question serait encore sujet aux liens mondains, ce qui l’amènerait finalement à la traîtrise (de l’abandon).
Comme on le sait, le sulûk désigne la progression spirituelle effective, c’est-à-dire le processus qui s’accompagne de l’accès définitif à des réalités supérieures ; il est à différencier de la pratique, dite de tabarruk parce que seule la transmission de la barakah y est envisagée, qui ne s’accompagne pas d’une telle progression.
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