C’est
ce texte que Michel Vâlsan (1907-1974), connu en Islam sous le nom
de Sheikh Mustafâ ‘Abdel-‘Azîz, considéré comme le fondateur
des études akbariennes en Occident, et l’auteur d’une
œuvre doctrinale majeure qui s’inscrit dans le prolongement
de celle de son Maître intellectuel René Guénon, a traduit
et publié en 1966 dans les Études Traditionnelles, revue
dont il est alors le Rédacteur en Chef.
Dans
son commentaire, Michel Vâlsan rappelle à juste titre que «
la Loi islamique est totale et inclut tous les domaines et tous les
degrés de la vie spirituelle et temporelle, y compris les principes
et les méthodes de la connaissance métaphysique. »