par Maurice Le Baot
V10 – Mai 2012
La présente étude propose une série d’aperçus complémentaires sur le rôle du Maître spirituel « vivant », selon l’œuvre de René Guénon. A sa suite, un soin tout particulier a été apporté à distinguer, parmi les possibilités initiatiques offertes par l’exercice régulier d’une « fonction d’enseignement de la doctrine », celles qui impliquent la possession d’une certaine qualification spirituelle personnelle de celles qui sont susceptibles d’être mises en œuvre indépendamment, selon des modalités plus « impersonnelles « .
Nota bene
L’ensemble des chapitres de la présente étude sont maintenant accessibles sous forme d’articles indépendants révisés et complétés à cette occasion. Nous mettrons prochainement à disposition du lecteur la version intégrale révisée du PDF, in châ Allah! En attendant, nous le prions de bien vouloir se référer en priorité aux articles ci-dessus qui constituent la dernière version de notre travail.
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Articles indépendants issus de cette étude:
- La question du Maître spirituel « vivant » et l’apport de René Guénon (Introduction)
- Maître « vivant » et Maître « fondateur »
- Un rôle de « transmetteur »
- Moyens « adjuvants » et méthodes « préparatoires »
- De la nécessité de l’instructeur spirituel
- Le « Mandat du Ciel » et les « qualifications du transmetteur »
- La « perfection de la Connaissance théorique »
- Note additionnelle sur la « préparation doctrinale »
- Doctrine et infaillibilité traditionnelle
- La fonction d’enseignement : « Une autre sorte d’infaillibilité »
- 22 conclusions
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